28 mars 2006
Les amis de l'écrivain
Un aboiement me tire su sommeil, chiche, lointain. Vivre à la campagne, à la lisière du bois, presque dans la forêt, vous rapproche des chiens. Comme eux, je ne dors que d’une oreille. Si vous avez un chien, c’est lui qui veille. Sinon, il faut faire...